L'aïki sans ses zōri (草履)
zōri (草履) je t'aime, zōri (草履) je t'adore mais je te laisse sans mes pieds au pied du tatamis.
zōri (草履), t'es sandales, claquettes, nue-pieds, tongues ...
zōri (草履), t'es toujours par deux, sauf exception comme il se doit...de pied.
zōri (草履), tu nous accueilles après l'effort pour aller à la douche.
zōri (草履), tu es la plus chère des chaussures pour faire 30 m aller retour.
Dans la réalité, ce bête quotidien, nous sommes plutôt chaussés. Quid d'un shiho nage en bottes de campagne, d'un ude garami en chaussures de montagne tout cuir, surtout pour uke ou d'un sankyo en talon aiguille.
Jour six du stage, nos zōri (草履) s'alignent, de plus en plus nombreuses (à priori c'est féminin), chapelet de nos pieds. Tournées vers l'extérieur, montent-elles la garde ou sont-elles prêtes pour un départ genre formule 1 ?
cette petite odozori, j'aime beaucoup
RépondreSupprimerOdozori ou Omajozori, je ne sais, mais c'est tellement juste de les voir ainsi rappelée à nos bons vieux doigts de nos bons vieux pieds
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