Corps-Esprit : Jour 14 - Forces et limites

 Corps-Esprit : Jour 14 - Forces et limites


La force comme définie ici représente nos facilités, nos habilités naturelles, nos potentiels. 
La limite, dans sa nature même, est franchissable, mais comme un obstacle, cela demande des efforts pour la surmonter, la dépasser. 

J'ai pris conscience que j'avais certaines forces en moi qui font qui je suis, et j'en incarne des aspects ici. 
Ici, sur Terre donc. D'où mon lien à la guerre, la guérison, la diplomatie, aux arts martiaux et à la Magie. 

Il est tout à fait concevable d'avoir des forces peu communes, même au niveau de son Essence (en lien avec son être véritable). Même accepter d'être plus puissants que d'autres sur des aspects de la vie qui semblent extraordinaires et exceptionnels pour la majorité des gens sur cette planète. 

Pour ça, mon livre me donne des baffes. Ce n'est pas pour rien que je mets du temps à l'écrire. Et devinez le prénom du personnage exprimant cela... Cassandre ! 

Et prendre conscience de ses forces va de pair avec ses limites. Les définir pour ça et pour soi. 

J'ai déjà parlé de l'importance de se protéger. C'est dans la même ligne d'idées, la même lignée. 
Les limites sont autant celles du corps que celle de l'esprit. Tout ce qui est limité est éphémère. 
(Est-ce vrai ? Cette phrase est venue s'inscrire avec spontanéité dans ce paragraphe). 

Les limites sont autant franchissables qu'infranchissables. Les premières peuvent permettre une évolution illimitée car laissant place à toutes les possibilités et et les potentialités. Les deuxièmes vont jusqu'à un certain point : le plafond de verre. 

Par exemple, tu peux être un excellent aïkidoka mais un horrible menuisier. Si tu veux être bon dans ce domaine, cela va demander plus que des efforts, de la persévérance et de la volonté mais une transcendance singulière de qui tu es, qui te change profondément pour avoir les mêmes aptitudes naturelles qu'un menuisier. Mais est-ce une bonne idée d'aller contre-nature ? En voilà une question !

Pour faire un parallèle avec l'Aïkido, je dirais que connaître les mouvements du corps et ses limites est essentiel, pour éviter de faire mal à son partenaire et améliorer son efficacité technique. 

Quant au lien à l'esprit, il est plus complexe. Certains affirment que l'Aïkido est le Zen en mouvement. 
Je continue mon enquête sur le Zen pour l'instant. De ce que j'en ai perçu, cela demande la rigueur d'une posture intérieure complexe mais accessible par la pratique régulière d'un art martial. C'est un chemin possible. Il en existe d'autres : la calligraphie pour n'en citer qu'un.

Un art martial a besoin d'une connaissance de soi sans cesse en développement pour que l'élève s'élève. 
Et que le maître continue de marcher pour explorer son ignorance et ses lacunes pour aller toujours plus loin. Car c'est le même chemin tout en étant différent. 

La question des forces et des limites sont liés aux rôles que nous jouons sur Terre et dans l'Univers (qui ne sont pas forcément identiques selon les expériences choisies et nécessaires pour évoluer, bref !). 
J'ai la flemme de développer ce sujet car il jouxte les questions liées à l'autorité, à l'Amour, à la puissance et la pureté liées, à la liberté et aux contraintes... et à notre Identité holistique, pas pratique ! 

Au moins, l'avantage des articles est qu'ils me serviront de matière première pour mes ebooks exploratoires. Peut-être en ferais-je plusieurs petits sur l'Aïkido selon la forme des textes et les sujets abordés ? J'ai été très philosophique aujourd'hui ! Ni moments de vie, ni poésie. 



Charline, votre Mage de la Nature qui se faufile au fil de la vie. 



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